Zinc, l’antibiotique, l’anticoagulant. Stimulez vos défenses immunitaires pour résister contre la pandémie

Chers Amis
Pardonnez-moi de venir vous déranger en pleines vacances.  Mais il le faut car l’inquiétude gagne de plus en plus de personnes.
Le rebond de la pandémie au coronavirus m’oblige à vous informer sans tarder.
Cette lettre est d’une grande importance. Je vous recommande de la lire intégralement, à tête reposée, et de la diffuser aussi largement que possible à vos proches (famille et connaissances).
Je ne change rien à ce que je vous ai dit dans la vidéo de 6’10” au bord du lac en plein confinement.
Pour revoir cette vidéo

Le coût technique de la diffusion est évalué à 4 € par famille. Parce que nous voulons informer très largement nous acceptons de diffuser aussi gratuitement. A vous de décider de payer ou pas, tout le monde sera accepté.

La crise sanitaire n’est pas terminée

Ceux qui ont payé le plus lourd tribu à la Covid19, plus de 30 000 personnes en France sont les plus fragiles : hypertendus, en surpoids jusqu’à l’obésité, les diabétiques, les immunodéprimés par d’autres atteintes virales (VIH), ou par les traitements anti-cancéreux, et les plus âgés porteurs de poly-pathologies.

Officiellement, on le sait désormais, beaucoup de personnes décédées dans les Ehpad ont été comptabilisées sans avoir été testées.  Difficile d’affirmer qu’elles ont été atteintes par le Cov-2.

Heureusement, dans notre beau pays de 67 millions d’habitants, ces personnes fragilisées sont peu nombreuses et souvent bien suivies. Mais c’est pour elles que nous devons être les plus attentifs et les plus efficaces afin de protéger leur santé souvent précaire.

Le virus Cov-2, responsable de la Covid 19 qui inquiète tant, circule comme tous les virus. Il continuera à circuler jusqu’à peut être nous atteindre tous sans exception.

Les épidémiologistes pensent que seulement 10% de la population française a été contaminée. Dans ces conditions une immunité de groupe ne peut être acquise à l’échelle du pays.

Un virus dangereux dont on devrait connaître l’origine réelle

Cette information, qui semble peu intéresser les spécialistes est pourtant capitale pour qu’une telle crise mondiale ne se reproduise pas, ou du moins qu’elle puisse être mieux gérée à l’avenir, tant au niveau de la santé que de l’économie des pays.
Ce Cov-2 qui a paralysé la planète entière, est plus dangereux que les autres (Cov 1 en Chine et Mers au Moyen Orient)  pour au moins quatre raisons majeures.

1/ Le virus se répand très facilement.
Chaque personne atteinte contamine plus d’une personne, d’où les règles énoncées par l’Etat avec le lavage régulier des mains et deux impératifs (qui ne font pas l’unanimité mondiale), distanciation et masques obligatoires (à changer tous les jours et plusieurs fois par jour pour les personnels de santé) dans les lieux publics.
Avec le risque d’un nouveau confinement après celui  terminé le 11 mai.
Le respect des gestes barrières s’impose donc d’autant plus que l’on nous dit et répète que les médecins n’auraient pas de traitement à proposer, ce qui n’est pas si sûr comme nous allons le voir.
Il reste les tests PCR à la recherche du virus dont la fiabilité est encore incertaine avec des délais d’attente qui ajoutent à l’anxiété.
Avec le rebond de l’épidémie, les interdictions de rassemblements en milieu fermé risquent de perdurer.

2/ Le virus a plusieurs tropismes
C’est dire qu’il est capable de perturber gravement d’abord le système respiratoire imposant une assistance respiratoire. Il peut aussi chez les personnes fragiles perturber le système vasculaire créant des coagulations plus ou moins disséminées dans notre organisme.
C’est l’”orage cytokinique” qui libère massivement des molécules inflammatoires que le système immunitaire ne contrôle plus. Elles peuvent avoir pour conséquences la formation de caillots et de thromboses à l’origine d’embolies pulmonaires, cardiovasculaires ou dans d’autres organes ou tissus : la peau, le système urogénital…

3/ Le virus est d’autant  plus actif  que les défenses immunitaires sont faibles.
L’académie des sciences médicales en Angleterre prédit que la reprise de l’épidémie pourrait avoir pour conséquences 120 000 morts supplémentaires cet hiver dans ce pays, à un moment de l’année où le virus grippal diffuse le plus largement.
Les plus fragiles évidemment risquent d’être atteints. Il devient donc nécessaire de se préparer à cette éventuelle deuxième ou troisième vague par une prévention scientifiquement argumentée.

4/ Le virus ne confère pas une protection immunitaire certaine et durable.
Si 80% des patients guérissent tout seuls, le niveau des anticorps des patients guéris faiblit assez vite, 20 à 40 jours après l’infection[1]. Leur recherche dans le sang n’a donc pas grand intérêt, d’autant plus que les dosages ne sont pas pour le moment encore très fiables.
Les cellules immuno-compétentes garderont elles la mémoire d’une première infection au Cov-2 ?  Probablement, mais rien n’est moins sûr. On nage scientifiquement en pleine incertitude !

La deuxième vague virale programmée : des vaccins attendus à la rentrée ?

La plupart des médias font actuellement état de près de 400 clusters en France, 15 millions de cas, et 600 000 morts dans le monde et une diffusion virale qui ne ralentit pas. Celle-ci pourrait même être plus forte à la rentrée, en provenance des pays du sud ce qui inquiète beaucoup de monde (66% des français au sondage Odoxa pour Fiducial du 22 juillet).

Evidemment le virus est toujours là !

Manifestement on nous prépare à la vaccination (nul doute qu’on la rendra obligatoire). Avec la priorité pour les personnels de santé et les personnes fragiles, avant la généralisation que l’on sent venir. Même processus que pour les 11 vaccins dès 2 mois après la naissance ?

Avec ou sans aluminium comme adjuvant pour stimuler les immunités trop faibles ? Attendons de voir les compositions vaccinales pour conseiller utilement et faire les bons choix.

Selon l’OMS, 23 candidats vaccins sont en cours d’évaluation clinique et 140 en évaluation préclinique.

Jusqu’alors, pour simplement remplacer dans la composition vaccinale l’adjuvant aluminium par le phosphate de calcium, on nous expliquait qu’il fallait 10 ans, alors que celui-ci a déjà disparu des vaccins vétérinaires ! Rigueur scientifique, prévention vaccinale réelle ou business premier servi ?

Pourquoi nous dit-on qu’on ne dispose pas de traitement : fake news ?

Bref on nous rassure avec la seule perspective vaccinale et ce d’autant plus fortement que les médias affirment « On ne dispose pas de traitement contre le covid 19 ! ».

Il est étonnant d’entendre même le président de la République qui n’est pas médecin, affirmer que, s’il est atteint, il ne prendra pas le traitement de notre collègue de Marseille au nom du siècle des lumières.

Exit donc les traitements qui ont fait et font encore leur preuve à l’IHU Méditerranée sur plus de 4000 malades. Mon collègue, le Pr Didier Raoult, est voué aux gémonies et à Garches le Pr Christian Perronne qui a osé dire les plus grandes vérités dérange jusqu’au conseil national de l’ordre des médecins qui deviendrait le garant de notre santé.

Quel est alors le rôle et quelles sont les responsabilités réelles du médecin référent ?

Exit ou procès aux médecins généralistes qui n’ont pas attendu des résultats statistiques et n’ont pas tiré au sort leurs patients ? Avec compétence et conscience, ils ont sauvé des vies et on leur reproche de ne pas avoir suivi les protocoles institutionnels (ANSM, HAS, HCSP ..).

Pourtant, cela paraît évident quand on compare les taux de mortalité en région parisienne à ceux de la province ou du milieu rural. Ces comparaisons vous permettent de savoir où vous faire traiter avec les meilleurs résultats.

Tout cela doit rester très présent à notre esprit, d’autant plus que les meilleurs virologues ne savent pas si le ou les  vaccins seront efficaces, si les effets secondaires ne seront pas plus importants immédiatement, et si à moyen et long termes, ils ne nous priveront pas d’une éventuelle immunité à vie après avoir développé une forte grippe.

On vous propose actuellement le remdesivir à 390 $ par flacon pour un traitement de 5 jours avec 6 flacons soit 2 085 € par patient. Ce traitement proposé par le laboratoire Gilead, adopté par la FDA (Food and Drug Administration), et certainement très vite par l’ANSM (Agence Nationale de Sécurité du Médicament) ne réduit pas la mortalité.

Le fabricant nous dit qu’il réduirait la durée d’hospitalisation de 3 jours. Ce coût de 3 jours en réanimation permet-il de fixer son prix par l’économie qu’il créerait ?

En attendant voici les 5 conseils préventifs et thérapeutiques

Il reste urgent de trouver les solutions qui nous évitent les hospitalisations en sachant que 70% de ceux qui entrent en réanimation n’en sortent pas vivant.

Au moindre doute, que vous soyez testé positif au covid ou pas (car tous les tests ne sont pas fiables), voici les 5 propositions qui ont fait leurs preuves.

Vous pouvez les comprendre. Nul doute qu’il ne faut pas attendre que des troubles respiratoires s’installent pour se faire traiter.

1/ Le zinc un oligoélément majeur pour l’immunité
C’est un oligo-élément essentiel qui joue un rôle majeur  pour maintenir nos défenses anti-virales.
98% du zinc de notre organisme se trouve dans nos cellules et nous ne possédons pas véritablement de réserve. Il est nécessaire aux fonctions du thymus organe essentiel à notre immunité dès le plus jeune âge.

Comme nous n’avons pas de réserve suffisante en zinc, dans notre organisme, un apport alimentaire régulier est indispensable.
La carence en zinc est très courante, affectant jusqu’à un quart de la population des pays en développement et 50% des personnes âgées chez nous [2].

Parmi les signes évocateurs de déficit en zinc, on retrouve les premiers symptômes du Covid 19 :

–  Une réduction temporaire du goût jusqu’à sa disparition, on parle d’agueusie, car le zinc intervient dans la synthèse de la gustine, protéine indispensable à la perception du goût dans les bourgeons du goût sur la langue.

–  Une anosmie, perte de l’odorat [3] [4]. La  forte sollicitation immunitaire entraine une majoration des carences en zinc, engendrant ces symptômes chez certains sujets.

Ce qu’il faut bien comprendre c’est que l’hydroxychloroquine, comme l’artémisia [5] permettent au Zinc d’entrer dans la cellule. On comprend donc l’effet antipaludéen de la chloroquine et de l’artémisia (annua ou afra) dont l’intérêt est grandissant.

Le zinc agit de 2 façons

–  il améliore la réponse antivirale et l’immunité chez les patients qui ont une carence en zinc.

–  il inhibe la réplication virale et des symptômes liés à l’infection.

Pour les spécialistes, « la réplication in vitro du virus de la grippe est inhibée, probablement par inhibition de l’ARN polymérase ARN-dépendante (RdRp) due au zinc. De manière similaire, l’ARN polymérase du virus SRAS, syndrome respiratoire aigu sévère a été inhibée par le zinc. De plus, il a été démontré que les sels de zinc inhibent le virus respiratoire syncytial. »

Ces arguments scientifiques justifient  la consommation de zinc dans notre alimentation ou comme complément alimentaire.

Le zinc est en effet présent dans notre alimentation mais peut être réduit dans son efficacité par l’hyper-sollicitation du foie, associé à toutes les pathologies métaboliques, chroniques et à la consommation d’alcool.

Un apport théoriquement suffisant de zinc peut manquer d’efficacité à cause d’une mauvaise absorption par l’intestin, chose fréquente dans les pays industrialisés.

La biodisponibilité du zinc peut être en effet diminuée par de nombreux facteurs alimentaires, notamment des phytates présents dans les céréales et les légumineuses, quand elles ne sont pas bien utilisées et  insuffisamment  mastiquées avant d’être avalées. Le calcium, le cuivre et le fer en excès diminuent son absorption.

Les personnes âgées sont également très souvent sujettes à une carence en zinc, ce qui augmente leur probabilité de développer des infections virales potentiellement mortelles.

Une supplémentation de zinc journalière durant un an chez les sujets âgés (de 55 à 87 ans) a démontré une réduction de l’incidence des infections et des marqueurs dans  le sang du stress oxydatif.

La carence en zinc est courante parmi les infections virales chroniques avec les papilloma virus, celui de l’hépatite C et le VIH du Sida.

Un certain nombre d’études ont examiné les effets de la supplémentation en zinc sur l’immunité antivirale. Cette  supplémentation améliore la réponse au traitement du virus de l’hépatite C et réduit l’inflammation hépatique souvent irréversible.

Le zinc fonctionne donc comme un modulateur de la réponse immunitaire. Si sa disponibilité est réduite, on observe une altération de la survie, de la prolifération et de la différenciation des cellules immunitaires,  dans les différents organes (foie, intestin..) et notamment au niveau du système respiratoire.

De plus, le zinc a, de façon certaine, une puissante activité anti-oxydante, principalement en tant que composant de la superoxyde dismutase (SOD). Il empêche ainsi la génération de radicaux libres toxiques [6] pour l’organisme.
Dans votre alimentation voici l’apport de zinc en mg pour 100g.

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En plus de tous les bienfaits immunitaires, il faut ajouter l’importance du zinc pour la croissance de l’embryon et du foetus pendant la grossesse, puis pendant l’enfance et pour la vie des cheveux, des ongles, la cicatrisation des plaies, la prévention de la DMLA et l’amélioration de la fertilité..

Vous comprenez maintenant beaucoup mieux l’importance de cet oligoélément. Mais il faut savoir qu’il ne serait pas grand chose sans les autres oligoéléments (sélénium, manganèse, cuivre, chrome, iode et bien d’autres encore…), ni sans les vitamines et acides gras essentiels, indispensables pour faire fonctionner tous les systèmes de régulation.

Comme compléments en Zinc, à consommer à jeun ou au petit déjeuner, si vos apports alimentaires sont insuffisants.

A titre préventif : 2 gélules par jour de Bi-Orthox (soit 10mg de Zn) ou Oligomax Zinc (10ml soit 10mg à diluer dans un verre d’eau).

Si vous avez les signes du covid 19, il faut doubler ou tripler la dose surtout s’il y a des risques supplémentaires.

La dose de sécurité a été fixée à 15 mg par jour.

2/ L’Azithromycine, antibiotique virucide de la famille des macrolides proposé par le Pr Raoult et prescrit par de nombreux généralistes avec succès.

Il est efficace dans les maladies respiratoires, ORL et IST (Infections Sexuellement Transmissibles) et face au Covid 19 car il peut réduire la charge virale par son action intracellulaire. Et surtout  il combat les infections toujours prêtes à s’installer.

Il est sans danger, et pourtant hors des recommandations officielles de l’ANSM contre le Covid 19.

On peut seulement lui reprocher d’altérer votre flore intestinale. Mais cela peut être aisément contourné en utilisant un bon pro biotique (Ergyphilus ATB), à raison de 2 gélules avant chaque repas pendant toute la durée du traitement, puis 2 gélules avant le petit déjeuner pendant 1 mois après la fin du traitement.

Ces compléments ne sont pas remboursés, mais présentent beaucoup d’intérêt. Protéger sa flore intestinale, c’est protéger son immunité, et c’est aussi favoriser la bonne absorption des micronutriments.

C’est votre médecin qui peut prescrire l’Azithromycine en connaissant ses éventuels effets indésirables. Le coût d’un tel traitement d’une semaine est autour de 15 € remboursé à 65% par l’assurance maladie.

3/ L’anticoagulant contre les caillots et les thromboses

Avec le Covid 19, les complications vasculaires sont fréquemment responsables d’hypercoagulation et donc de la formation de caillots avec risques de thromboses et embolies artérielles ou veineuses.

Les localisations sont diverses aux niveaux cardio-respiratoire, cérébral, cutané et même génital. Votre médecin peut juger utile à titre préventif, de prescrire un médicament anti-coagulant sous forme de comprimés étalés sur une même journée.

4/ L’hydroxychloroquine ou plaquenil

Ce médicament prescrit depuis très longtemps et efficace contre le paludisme a fait l’objet de polémiques ridicules, graves et dangereuses, liées à des considérations que chacun peut imaginer. Il a pourtant sauvé beaucoup de vies humaines atteintes par le coronavirus du covid 19 à Marseille et à l’étranger (Chine, Maroc en particulier).

Il aurait pu en sauver beaucoup d’autres qui ont reçu à la place des molécules en cours d’expérimentation n’ayant aucunement fait leurs preuves, en particulier le remdesivir dont on sait aujourd’hui qu’il ne réduit pas la mortalité.

Alors que les médecins généralistes peuvent prescrire le plaquenil pour des maladies auto-immunes, les autorités de santé (ANSM et autres…) le leur interdisent pour neutraliser le Cov-2.

Incompréhensible ! Où est le complot ?

5/ Comment entretenir et développer vos défenses immunitaires

Les personnes les plus à risques restent les plus âgées et celles atteintes de comorbidités.

Nul doute qu’elles doivent faire attention à leurs habitudes alimentaires en réduisant les apports en sucre, en gardant une forte hydratation (1,5 à 2 litres d’eau par jour) surtout en ce temps caniculaire dans de nombreux départements.

Nous sommes actuellement à la meilleure période pour consommer beaucoup de fruits frais de saison et bio et d’avoir une alimentation riche en poissons et fruits de mer pour un apport suffisant en acides gras essentiels, les omégas 3 auxquels on ajoute huile de noix, de colza et d’olive.

Le 5 août prochain, vous pourrez nous poser en live toutes les questions que vous souhaitez après la lecture de cette lettre.

Et aussi le samedi 22 août au Moulin d’Albières

[1] Contrairement à ce que l’on observe quand la rougeole atteint l’enfant avant de le vacciner autour d’un an ; il est alors sauf exception immunisé à vie. Tandis qu’avec le vaccin il est immunisé pour 20 ans !
[2] SEVE M, FAVIER A. Métabolisme du zinc. Encyclopédie Médico-chirurgicale, 10-359-D-10, 2002, p19 et ROUSSEL AM, FERRY M. Stress oxydant et vieillissement. Nutrition clinique et métabolisme, 2002,16, 285-291
[3] Richard MJ, Roussel AM. Micronutrients and ageing : Intakes and requirements. Proc Nutr Soc 1999;58:573-8
[4] Hiroyuki YANAGISAWA, Zinc Deficiency and Clinical Practice JMAJ 47(8): 359–364, 2004 – et Rong-San Jiang , Chih-Wen Twu , Kai-Li Liang  – Medical treatment of traumatic anosmia – Otolaryngol Head Neck Surg2015 May;152(5):954-8. doi: 10.1177/0194599815571272. Epub 2015 Feb 24.
[5] Voir le livre passionnant de Lucile Cornet-Vernet – Artémisia, une plante pour éradiquer le paludisme. Ed. Actes Sud  2018
[6] Dorota Skrajnowska and  Barbara Bobrowska-Korczak –  Role of Zinc in Immune System and Anti-Cancer Defense Mechanisms – Nutrients. 2019 Oct; 11(10): 2273.  Published online 2019 Sep 22. doi: 10.3390/nu11102273

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